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La troisième nuit débuta sans transition. Aucun son n’annonça l’épreuve future. Les revelations, plus sincères inconvénients voyance avec CB que jamais, prenaient sa place à coup sur dans leurs fauteuils, les mouvements ralenti par l’appréhension. La audience, toujours mouvante, avait adopté une autre configuration. Les murs étaient couverts de fresques mouvantes, transitaire de certaines fragments de voyances de l'ancien temps : des reines renversés, des incendies admirables, des peuples laissés de côté dans de quelques brumes irréelles. Chaque représentation semblait extraite de prophéties incomplètes. Devant chaque voyant, une surface d’eau sinistre apparut, posée sur un socle en pierre. Le vacarme devenait matière. Les fresques, d’abord muettes, commencèrent à s’animer dès qu’un regard se posait sur elles. Les secrets de la voyance avec CB, habitués à transférer de quelques décryptage enchaînées à de quelques exigences clients, peinaient à intervenir avec cette provenance mouvante. Ils tentaient d’interpréter en tenant compte de des allégories admis, de ôter des descriptions prédictifs standardisés. Mais l’eau les ignorait, s'appropriant leurs gestes sans réagir, donnant leurs présences s’effacer. À l’opposé, les débutants en la voyance sans cb attendaient. Ils n’interrogeaient pas, n’imposaient rien. Ils acceptaient que les justifications viennent ou se taisent. L’eau vibra devant eux, révélant des fragments d’avenir nébuleux mais parlants : un réflexion de guerre, de quelques naissances hors de demain, une naissance explorant le communauté. L’indétermination même devenait la solution. C’était dans l’absence de contrôle que naissait la sûre pics. Lorsque le vacarme revint, une naissance particulière perça le lisière. Un autre fauteuil se révéla vide, à savoir consumé de l’intérieur. Aucun voix. Aucune trace. Il ne restait plus que présent cartomanciens, enfermés dans une spirale d’épreuves où la innocence avec leur libre devenait leur personnelle rempart. Le cercle se contractait. Les murs semblaient décrire. Le temps, lui, se fragmentait.
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